Jean-Luc
Crucke

Depuis sa prise de fonction, le Ministre n’a reçu aucune liste de fermeture d’arrêts de la SNCB et n’a par conséquent pris aucune décision en la matière. Il ne cesse de le répéter aux parlementaires qui l’interpellent et déplore la diffusion d’informations totalement fragmentaires et erronées.

« Le rail mérite mieux qu’un slogan de campagne. Les citoyens méritent des réponses, pas des approximations. » dit Jean-Luc Crucke

Le Ministre rappelle que le développement de la mobilité durable, inclusive et multimodale constitue une priorité essentielle de l’accord de gouvernement fédéral. Cela passe par un renforcement de l’offre dans les zones en croissance, une meilleure intégration entre les modes de transport (train, bus, vélo, mobilité partagée), et le maintien d’un accès équitable au service public ferroviaire, dans une logique de transition écologique juste.

Par ailleurs, la ponctualité des trains s’est améliorée en 2024, comme l’indique le dernier rapport annuel de la SNCB – un progrès concret rarement relevé dans le débat public, mais essentiel pour la confiance des voyageurs.

Il est également important de souligner que certaines suppressions de trains peuvent être temporaires, liées à des chantiers d’infrastructure, à des contraintes opérationnelles ou à des adaptations saisonnières. Les présenter comme des choix politiques permanents est inexact et préjudiciable au bon fonctionnement du service public.

« Ma méthode est claire : avancer avec rigueur, en concertation, sur base des faits. Pas avec des peurs agitées à des fins politiques. » insiste le Ministre.

Jean-Luc Crucke réaffirme sa détermination à œuvrer pour une mobilité du XXIe siècle : fiable, décarbonée, et centrée sur les besoins des citoyens. Il poursuivra dans les semaines à venir le dialogue avec les bourgmestres et acteurs de terrain, car la modernisation du rail ne peut se faire ni sans eux, ni contre eux.